Publié le 22 Novembre 2017

 

L’amicale du personnel de Clohars-Carnoët organise, le dimanche 26 novembre, la troisième édition du « Petit Noël des créateurs ».

Une vingtaine de créateurs, sélectionnés pour l’originalité et la qualité de leur production, vous présenteront leur travail. Idéal pour piocher des idées cadeaux et pourquoi pas ramener quelques trouvailles !


Rendez-vous à partir de 10 h à la salle des fêtes et à La galerie municipale La Longère.

Entrée libre. Nombreux lots à gagner. Animations enfants. Vin chaud et petite restauration sur place. Pensez à vos lettres au Père Noël à glisser dans la boîte aux lettres !

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Publié le 17 Novembre 2017

 

 

Créé en 2014 à l'initiative de passionnés de photographie, le club VENT D'IMAGES compte une trentaine d'adhérents (de Clohars et alentours) et propose des cours théoriques, analyse photos, traitement, sorties à thèmes, ateliers en équipes, expositions...

Le club accompagne les photographes débutants, initiés ou confirmés lors de réunions hebdomadaires où règnent convivialité, échanges et partage des connaissances.

 

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Publié le 4 Novembre 2017

Gwenaël Guillouzouic porte, avec Joséphine Rouillard, un projet archéologique à Saint-Maurice
 
Le site abbatial de Saint-Maurice à Clohars-Carnoët a été acquis par le Conservatoire du littoral en 1991. Pourtant, son passé reste inconnu. Joséphine Rouillard, docteure en histoire médiévale, enquête sur le terrain.
À Clohars-Carnoët, le site abbatial de Saint-Maurice abritait une communauté de moines cisterciens. En rive droite de la Laïta, à quelques encablures de la mer, sa situation géographique le rend exceptionnel, tout comme sa faune et sa flore.
Mais pas son histoire qui reste la belle inconnue du site. Docteure en histoire médiévale, Joséphine Rouillard tente de lever le voile. Alors que son arrivée à Saint-Maurice, cet été, tient uniquement du hasard.
« Aux archives, il n’y a rien. En 2004, quand nous avons monté l’exposition permanente, nous avons un peu travaillé sur l’histoire. Pierre Le Thoër, historien local, en parle dans son livre Clohars-Carnoët au fil du temps. Mais c’est tout. Nous ne savons rien du passé de l’abbaye », constate Gwenaël Guillouzouic, garde du littoral et gestionnaire du site.
S’il est intrigué, son travail ne lui laisse pas de temps pour plonger dans l’histoire. Jusqu’à ce que le curriculum vitae de Joséphine Rouillard arrive sur son bureau.
Le hasard s’en mêle
La jeune femme, docteure en histoire médiévale, arrive de Bourgogne, postule avec succès pour un emploi de saisonnier à la mairie et assure l’accueil du site pendant l’été. « Je lui posais plein de questions, car elle est spécialisée dans les abbayes cisterciennes. Et Saint-Maurice en est une », relance Gwenaël Guillouzouic.
Au fil des échanges, l’équipe monte un dossier pour obtenir le feu vert à des explorations archéologiques non destructives.
Joséphine Rouillard met son temps libre à profit pour explorer Saint-Maurice : observer le barrage monumental « perdu au fond du bois », pose un regard neuf sur les murs et « les pierres qui proviennent de différentes carrières », questionne l’étang à l’eau saumâtre « construit pour pêcher le poisson que les moines cisterciens mangeaient ».
Nécessaires recherches
Voici quelques jours, Paul Benoit, professeur honoraire à la Sorbonne, a effectué avec Joséphine Rouillard, une prospection visuelle sur certains lieux. Le 19 octobre, le conseil municipal de Clohars-Carnoët vote le projet qui a déjà l’aval des hautes autorités de l’archéologie.
 
Son nom ? L’eau du lieu. Des demandes de subvention sont faites à la Direction régionale des affaires culturelles et au Département. Aux côtés de la commune, chacun pourrait participer pour 40 % au coût estimé à 27 000 €. Objectif : « lever le mystère qui plane sur 90 % du site ».
 
Lever le mystère
 
Joséphine Rouillard, désormais chargée de mission et attachée de conservation du patrimoine, va « porter un regard neuf » sur les rares écrits aux Archives départementales.
Au printemps, une prospection géophysique est programmée, grâce à une méthode non invasive « pour avoir une cartographie du sous-sol ».
Des diodes posées au sol envoient du courant et reçoivent un signal en réponse. Ces signaux permettent de déterminer une carte du sous-sol. Des chercheurs du CNRS, Centre national de la recherche scientifique, viendront faire les manipulations.
 
« Nous essaierons de trouver le plan précis de l’abbaye, le réseau de canaux hydrauliques car, pour l’instant, nous ne savons pas où passe l’eau. De savoir d’où viennent les pierres. L’archéologie du bâti n’a jamais été faite et les murs sont faits d’une grande variété de pierres. Où se situe le cimetière ? Le site, c’est 600 ans de vie cistercienne dont on ne sait rien », concluent les instigateurs du projet.
 
Il sera présenté en colloque international au Portugal en août 2018.
 
Béatrice GRIESINGER Ouest-France Publié le 03/11/2017

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Publié le 3 Novembre 2017

La comédie "J’aime mieux la mer du Nord" sera jouée ce dimanche, à la salle des fêtes de Clohars-Carnoët. Un théâtre tout public à trois influences : il pique, questionne, et touche hommes et femmes.

J’aime mieux la mer du Nord est un spectacle de la compagnie Tintamar, versant dans une critique plurielle, tantôt dosée, parfois coup-de-poing, de deux femmes là pour interroger, piquer ou émouvoir.

« On se met dans la peau de plusieurs femmes, mais on parle beaucoup des hommes », assure Magali Domec. Le commentaire de la comédienne s’adresse comme un message aux deux sexes.

Dans J’aime mieux la mer du Nord, l’un et l’autre vont s’y retrouver. Si ce ne sont pas leur propre personne, ce sont l’ami ou la famille que les mots des jeunes femmes vont rappeler, à travers des témoignages et morceaux de vie finement piochés.

Triptyque d’ambiances

L’invitation de la compagnie brestoise Tintamar s’inscrit comme l’un des événements majeurs de la saison culturelle tricotée par la Ville pour faire des dimanches frisquets de moments croustillants d’humeurs et d’humanité. C’est toute la teneur de J’aime mieux la mer du Nord. Elle se décline en trois temps, trois esprits, et un triptyque d’ambiances. « Le texte Hard copy, d’Isabelle Sorente verse dans la provocation, il est très cru. Inventaires, de Philippe Myniana, laisse émaner des personnages touchants, quand celui de Gilles Moraton, Jean-Jacques, invite à se questionner », décrit Magali Domec.

Lile Cargueray, Magali Domec… « Elles se racontent avec indécence ou discrétion, au creux de l’oreille ou en pleine face, rivales ou camarades, fougueuses ou alanguies. Elles nous rappellent quelqu’un, elles nous font rire même si ce n’est pas drôle, elles vous attendent… Et repartiront sans doute avec vous. »

Elle et Lile Cargueray voyagent en duo depuis sept ans. Certains ont encore en mémoire la performance Lèche-vitrine, exposée dans la rue Savary il y a quelques années dans le cadre du festival des Rias, où il était question de dénoncer la désertification des centres-villes, la consommation, et plus communément la vie dans son ensemble.

Dimanche 5 novembre, spectacle J’aime mieux la mer du Nord, par la compagnie Tintamar, à 17 h, à la salle des fêtes. Tout public. Tarifs : 6-8 €. Réservations : 02 98 71 53 90.

Ouest-France le 2/11/2017

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Publié le 3 Novembre 2017

1er salon du livre indépendant Galerie des Grands Sables au Pouldu (29360)
 
Venez nombreux découvrir le 1er salon du livre indépendant au Pouldu, à la galerie des Grands Sables, avec les ouvrages des éditions du Sextant, La Lenteur, le Bout de la Ville et Serge Kergoat, et la participation de la librairie Passage, de Brasparts :
 
les samedi 4 et dimanche 5 novembre 2017, de 11 heures à 18 heures
 
entrée gratuite

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Rédigé par Association des Amis du pouldu

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